Summary: ‘We’re not in igloos anymore’: Seal Summit wraps with hope for a growing market for Inuit hunters

 

Rubin Komangapik, an Inuk hunter, and his hunting partner Yoanis Menge manage a co-operative named Reconseal. They provide seal meat and skin to southern Inuit groups so that urban Inuit can have access to traditional staples like seal meat, arctic char, and caribou. Along the way, the two hunters share cross-cultural hunting techniques and worldviews with each other.

 

Based on the best available science, the Canadian government and the Department of Fisheries and Oceans (DFO) support the sealing industry. Seal meat has a big market in Asia, particularly China, and Komangapik and Menge believe it will someday become a homegrown food staple. Even in Canada, changing public opinion of western seal markets is a big challenge.

 

Both Komangapik and Menge agree that living in cities makes it easy to disconnect from nature. When someone is on the land, they experience a whole other reality.

 

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‘We’re not in igloos anymore’: Seal Summit wraps with hope for a growing market for Inuit hunters

Résumé : « Nous ne vivons plus dans des igloos » : Le sommet du phoque a permis de renouer avec l’espérance d’un marché en croissance pour les chasseurs inuits.

Le chasseur inuit Rubin Komangapik et son partenaire de chasse Yoanis Menge sont les gérants d’une coopérative nommée Reconseal. Ils fournissent de la viande et des peaux de phoque aux Inuits du sud afin que les Inuits citadins puissent avoir accès à de la nourriture traditionnelle comme de la viande de phoque, du caribou et de l’omble chevalier. Sur la route, les deux chasseurs partagent des techniques de chasse et une perception du monde héritées de deux cultures différentes.

 

Le gouvernement canadien et Pêches et Océans Canada soutiennent le secteur de la chasse au phoque avec l’appui des meilleures ressources scientifiques. Le marché de la viande de phoque est particulièrement important en Asie, en particulier en Chine, et Komangapik et Menge pensent qu’elle s’intégrera un jour aux spécialités locales. Au Canada aussi, changer l’opinion du public au sujet du marché du phoque occidental représente un défi de taille.

 

Komangapik et Menge s’accordent tous les deux sur le fait qu’il est facile d’oublier la nature lorsque l’on vit en ville. Quand une personne vit au sein de la faune et de la flore, le monde dans lequel elle évolue est tout autre.

 

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